« La société n’aime pas trop l’excès de liberté, l’individualisme assumé. Entre la fin des années 80 et la décennie suivante, traqués par la NYPD, les mauvais garçons du graffiti new-yorkais s’affichent alors en artistes émergents dans les galeries d’art. Dans ce cadre, germe le projet de Kevin Krich pour la Fast Art Gallery: inviter quelques uns des rois du graffiti à décorer une moto.
Le support est hautement symbolique: la machine ultime de la liberté individuelle, le véhicule rebelle et marginal du monde moderne. En bonus, l’évolution du design moto convient à merveille: larges carénages et surfaces lisses des supersportives japonaises en guise de support créatif ». Lire la suite →