Si ma première journée au Maroc fut marquée par son lot d’angoisse et de stress, cette seconde journée va se dérouler d’une façon presque totalement opposé. A tel point que pour la rédaction de cet article, j’ai du affronter pendant de longues minutes, si ce n’est des heures, le syndrome de la page blanche : il n’est jamais simple de narrer une journée « normale ».
Enfin, normale, si j’ose dire. Parce que rouler au Maroc, découvrir l’Afrique, attaquer ses premières pistes sur ce continent, c’est tout sauf normal. En tout cas pour moi !
Alors, plutôt que le qualificatif « normale », je vais utiliser celui de « détendue ». Lire la suite →