Dans la Nuit Noire qu’est mon quotidien récemment dérisoire, scotché pour l’éternité dans une espèce d’arrêt sur image absurde, il n’y a que sur une moto que je me sente encore vaguement vivant. Les humains me parlent et ils veulent m’aider, mais ça fait écran. ça fait blablabla.
Parfois, je tourne un peu la poignée, je ferme les yeux, et là, enfin, y a juste plus rien. Presque comme le soir du Vendredi 13 Octobre 2017, vers 17h30. Juste à la fin de l’hiver austral. Quand tout s’est subitement arrêté. Je me rapproche mon Amour. Lire la suite →