Sylvain Tesson a réussi sa Berezina. Dans la langue usuelle, ce mot est synonyme d’échec total et de déconfiture apocalyptique. Mais en littérature, sous la plume de notre aventurier, et au guidon de side-cars Ural, Berezina est un sacré bon moment de lecture. (…) 

Ils me font bien marrer les gens qui prônent l’exploit anonyme sous-médiatisé sans bouger de leur bureau, coincés dans les limites étroites de leur « open space ». Et puis on s’en tape pas mal. Il faut se la faire la route de la Berezina en hiver. Mégalo le Tesson ? Peut-être, mais certainement pas mytho. Lire la suite →

clay

 

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